Dans le domaine de la médecine orientale, le Shiatsu est aujourd’hui considéré comme une technique bien établie, surtout lorsqu’on l’envisage du point de vue occidental. Dans le domaine du Shiatsu lui-même, on dit souvent qu’il existe des styles distincts et l’un des plus facilement identifiables est le Zen Shiatsu, créé il y a environ un demi-siècle au Japon par l’érudit, penseur et innovateur, Masunaga Shizuto.
Cette série d’articles s’articulera autour de trois axes principaux. L’un d’eux consistera à fournir un compte rendu historique de la naissance d’un style de Shiatsu distinctif et très influent et à décrire le processus dans le contexte plus large de l’histoire et de la culture japonaises. Ce faisant, nous examinerons également la création de Masunaga en termes de tradition et d’innovation. En outre, nous tenterons d’identifier les attributs du Zen qui lui ont donné son nom et qui pourraient distinguer ce style des autres formes de Shiatsu. Un thème majeur qui émergera dans le cadre de ces investigations sera la relation entre la création de Masunaga et la tapisserie plus large de la médecine orientale, dont il s’est inspiré et qu’il a directement influencé à de nombreux niveaux.
Aucune hypothèse n’est faite quant à la quantité de connaissances spécialisées qu’un lecteur individuel pourrait avoir. Au contraire, il est admis que les lecteurs s’intéressent à différents domaines et possèdent des connaissances dans des domaines variés, à des degrés divers. Pour certains, il y aura des détails superflus par endroits, tandis que pour d’autres, certains concepts de base seront déjà compris et pourront être parcourus assez rapidement.
Par Chris McAlister
La naissance du Zen Shiatsu
Le Zen Shiatsu est un style thérapeutique de création récente. Cependant, en raison de son utilisation de concepts et de pratiques issus des traditions de la médecine orientale, nous pouvons utilement le considérer comme une branche jeune et dynamique d’un arbre ancien et puissant.
La formation progressive du style qui a été connu sous le nom de Zen Shiatsu est principalement l’œuvre d’un homme : Shizuto Masunaga. Né en 1925 à Kure, dans la préfecture d’Hiroshima, au Japon, son premier domaine professionnel est la psychologie, domaine dans lequel il obtient un diplôme de l’Université impériale de Kyoto en 1949 [1]. Il s’oriente ensuite vers le travail corporel, suivant l’influence de sa propre mère – elle organisait des cours de shiatsu avec le maître Tenpeki Tamaï dans la maison familiale des Masunaga – et obtient un diplôme de la Japan Shiatsu School [2] à Tokyo sous la direction de Tokujiro Namikoshi. À partir de 1959, il enseigne la psychologie clinique pendant dix ans dans cette même école, qui détenait à l’époque, et détient encore aujourd’hui, le droit exclusif de délivrer des licences aux praticiens du Shiatsu au Japon [3].
Nous ne pouvons que deviner les étapes exactes du processus de développement et de séparation qui s’est produit chez Masunaga, le professeur et le praticien, mais en 1968 il avait créé sa propre école : le Centre Iokaï Shiatsu. À partir de là, et avec un groupe d’étudiants dévoués, il a commencé à mener le processus de déconstruction et de reconstruction qui allait progressivement conduire au développement du Zen Shiatsu.
En termes de déconstruction, Masunaga s’est donné beaucoup de mal pour démanteler le style dont il avait hérité – le Namikoshi Shiatsu de son professeur [4]. Pour ce qui est de la reconstruction, il a été capable, comme nous le verrons, de mettre au point une méthode holistique qui intégre les théories vitales et énergétiques de la médecine orientale traditionnelle [5] avec des aspects clés de la science occidentale fondée sur les résultats. L’histoire des efforts de Masunaga ne consiste pas seulement à ramener l’essence spirituelle dans le Shiatsu [6], mais aussi à contribuer de manière significative à l’évolution du Shiatsu en développant des théories et des pratiques propres à son système.
Shizuto Masunaga a créé un style de Shiatsu qui a réintégré son noyau originel de spiritualité et d’énergie vitale. S’intéressant particulièrement à l’exploration des composantes mentales, émotionnelles et spirituelles de l’entité humaine, il a élaboré un système qui fusionne des idées issues de la psychologie et de la physiologie occidentales, de la médecine traditionnelle chinoise et du bouddhisme zen.
Masunaga ayant réussi à formuler les concepts orientaux traditionnels en termes occidentaux conventionnels et modernes, son style, le Zen Shiatsu, a suscité un large intérêt et est peut-être devenu la forme la plus populaire de Shiatsu au niveau international.
Le Centre Iokaï (医王会 ) [7] existe toujours, même si son fondateur est décédé en 1981. Rien que le nom « Iokaï » en dit long sur les ambitions de son créateur. Traduit littéralement, il signifierait « Association de l’Empereur/Roi de la Médecine ». Pour le lecteur occidental, cela peut sembler manquer d’humilité, c’est pourquoi les références contextuelles suivantes peuvent donc s’avérer utiles.
Le « Zen » dans le Shiatsu
L’attention de Masunaga avait été attirée par un certain passage du sutra bouddhiste connu en japonais sous le nom de Zoagon-kyo. Le passage en question explique l’importance d’une approche approfondie et spirituelle (ce que nous pourrions appeler aujourd’hui « holistique ») de la guérison. L’empereur de la médecine devrait, selon ce passage, examiner minutieusement la nature de la maladie, en identifier clairement l’origine et la cause, traiter la maladie mais aussi se soigner et s’éclairer sur la constitution de son propre être.
Dans ce court passage, nous trouvons une description concise de certains des principes clés de la médecine orientale traditionnelle : l’enquête sur la nature de la maladie, ses origines et ses causes ainsi que son traitement efficace, mais aussi, et peut-être surtout, le soin de sa propre personne et le chemin vers l’illumination à travers la vocation de guérison.
Ces idées ne sont pas souvent exprimées de manière aussi directe par les praticiens et enseignants modernes ou traditionnels de la médecine orientale, mais Masunaga semble avoir été très clair sur ce point : la voie de la guérison est une voie vers l’illumination. Cela explique bien sûr en grande partie pourquoi des générations de personnes, à travers les âges et dans toutes les cultures et situations de la vie, se sont senties obligées de consacrer leur vie à la guérison.
Ainsi, le travail de guérison ne doit en aucun cas être confondu avec un don désintéressé de temps, d’énergie et de ressources vitales. C’est une Voie en soi avec sa propre promesse de récompense. Dans la préface de son texte anglais fondamental de 1977, « Zen Shiatsu », nous trouvons les lignes suivantes écrites par Masunaga :
« Dans le Zen, il est important d’avoir un bon maître pour apprendre. En shiatsu, votre patient est votre maître. Vous pouvez atteindre le satori en traitant la maladie et en restaurant la santé. »
Cela souligne l’importance du mot Zen dans le contexte du nom donné au style de Shiatsu de Masunaga.
Plus loin dans ce chapitre, nous examinerons de plus près les aspects pratiques du style, et en particulier l’accent mis sur la « pression naturelle », le mouvement fluide et la posture ergonomique. Une fois cela fait, nous pourrons nous demander si le mot « Dao » n’aurait pas été tout aussi approprié, sinon plus, pour décrire l’essence de la contribution de Masunaga au Shiatsu.
Il existe deux histoires intéressantes sur la façon dont Masunaga a fini par nommer son style Zen Shiatsu. La première est celle à laquelle la majorité des praticiens ont tendance à s’identifier. L’histoire raconte que Masunaga a traité un moine zen ou qu’un moine a vu Masunaga donner un traitement à un tiers. Dans un cas comme dans l’autre, on raconte que le moine a alors assimilé ce qu’il avait vécu, ou vu, au zen pratiqué entre deux personnes.
L’autre histoire est un peu moins attrayante pour les praticiens du Zen Shiatsu, mais peut-être pas moins importante dans le contexte plus large des thérapies corporelles orientales qui font des incursions dans les cultures occidentales. Cette histoire raconte qu’au cours du processus de traduction du livre « Shiatsu » de Masunaga en anglais, son collaborateur, Wataru Ohashi [8], a suggéré le nom « Zen Shiatsu ». Ohashi a fait valoir qu’un tel nom serait beaucoup plus attrayant pour les lecteurs occidentaux. Cette idée s’est avérée très pertinente, et l’histoire ne risque pas d’être rejetée d’emblée par ceux qui connaissent la connaissance pénétrante qu’a Ohashi de la psyché humaine et, sur le plan pratique, de ce qui fait vendre.
Ce qui est certain, en revanche, c’est que le Zen Shiatsu est devenu un style de Shiatsu reconnu et populaire dans le monde occidental, malgré sa relative obscurité au Japon. Cette obscurité s’explique en partie par le monopole total dont jouit encore l’organisation familiale Namikoshi sur la délivrance des licences d’État aux praticiens du Shiatsu au Japon. L’autre facteur majeur est le faible statut actuel accordé à la plupart des formes d’art traditionnel japonais et oriental, à quelques exceptions près (le sumo, le kabuki et l’ikebana étant les plus importants).
Les deux faces de Masunaga
1 – Le sage érudit
Ceci nous amène aux deux aspects très différents de l’histoire de la vie de Masunaga. D’une part, il est possible de voir Masunaga comme un exemple moderne du sage érudit, une figure universelle connue et révérée à travers l’histoire orientale. D’autre part, il est tout à fait possible de le considérer comme un pur produit de son époque et de son lieu de vie.
En fin de compte, nous constaterons qu’il peut peut-être être considéré comme un individu exceptionnellement doué qui a réussi à combiner avec succès ces deux polarités. À partir des particularités de l’époque et du lieu, mais également à partir des ressources de la tradition, Masunaga a créé un objet de valeur durable qui a survécu à sa propre existence physique et continue de prospérer.
Si nous choisissons de considérer Masunaga comme l’un des membres d’une longue lignée de sages érudits, nous avons beaucoup d’éléments pour étayer notre point de vue. Comme mentionné ci-dessus, il a d’abord étudié la psychologie à un niveau professionnel. Il a ensuite intégré non seulement l’art du travail corporel, mais aussi le domaine du mouvement. Comme pour souligner l’importance de ce dernier, son autre texte traduit, publié en 1987, s’intitule : « Exercices d’imagerie zen » [9].
Dans ce dernier livre (traduit de manière fluide par Stephen Brown), nous voyons le second résultat majeur de son enquête de toute une vie sur ce qu’il appelait « l’écho de la vie ». Le corps principal du texte consiste en plusieurs séries d’exercices. L’objectif déclaré était d’initier le lecteur à des mouvements simples, qui éveilleraient et enflammeraient la relation de l’individu avec sa propre énergie vitale ou Ki (Qi).
Dans ce texte, il a également développé ses descriptions des méridiens de la médecine orientale, et c’est ici que nous rencontrons encore un autre domaine d’activité dans la vie de cet homme remarquable.
Masunaga était un homme qui semble avoir sans cesse analysé, interprété et appliqué les courants traditionnels et modernes de la connaissance. Son travail consistait en une réévaluation, une réinterprétation et une synthèse. Cette synthèse a été réalisée tout au long de sa vie et par le double processus de l’effort mental et de l’application pratique. Nous pouvons déduire de son travail un processus en spirale de réévaluation continue, comprenons par là un instinct implacable de découverte et d’apprentissage, mais aussi de mise à l’épreuve de toutes les théories et découvertes dans la clinique – le domaine le plus exigeant qui soit.
Ces divers attributs et réalisations, lorsqu’ils sont mis ensemble, portent la marque du sage érudit : des efforts dans plusieurs domaines parallèles et reliés entre eux ; un savoir traditionnel minutieusement accumulé ; des théories et des pratiques modernes examinées et testées et, enfin, une synthèse personnelle des éléments les plus efficaces et les plus gratifiants contenus dans une création substantiellement nouvelle.
2 – Un homme de son temps
Si nous regardons maintenant l’envers de la dichotomie, nous trouvons un homme complètement en harmonie avec son zeitgeist : l’esprit de l’époque dans le Japon de l’après-guerre. Depuis la restauration de Meiji dans les années 1800, le Japon a subi une transformation rapide. En un laps de temps relativement court, le Japon est passé d’une culture féodale hermétiquement close à une société moderne et progressiste, ouverte et désireuse – presque désespérée – d’assimiler ce qui avait été strictement interdit auparavant : les valeurs et pratiques occidentales, et, ce qui nous intéresse particulièrement, la méthode scientifique naturelle.
En termes médicaux, cela signifiait l’anatomie, la physiologie et les pratiques modernes de la médecine occidentale. La crise que cela a inévitablement déclenchée pour les arts de guérison orientaux traditionnels a pris de nombreuses formes, allant de l’abandon total à l’intégration partielle, en passant par le déni pur et simple et l’enracinement. La crise n’avait cependant fait que commencer et allait s’accélérer et s’intensifier.
À la fin de la Seconde Guerre mondiale, le Japon était complètement dévasté. En termes matériels, la nourriture était rare, les infrastructures détruites et la santé nationale épuisée. Les symboles les plus flagrants de cette situation sont, bien sûr, les villes de Nagasaki et – plus encore – d’Hiroshima, ville natale de Masunaga, toutes deux anéanties par les bombes atomiques.
Spirituellement, les Japonais n’étaient pas moins diminués à cette époque. L’empereur, qui jouissait traditionnellement du statut de dieu, avait été profondément humilié par des Américains « sans culture » et s’était révélé n’être qu’un simple mortel.
Il est pratiquement impossible pour un lecteur occidental actuel d’imaginer ce que les gens ont pu ressentir ou de mesurer l’impact que cela a pu produire sur tout un peuple. Ce que l’histoire nous a montré objectivement et avec insistance, en revanche, c’est que les conséquences ont été considérables dans les domaines combinés des arts – arts d’expression et de la scène, mais aussi arts médicaux et martiaux.
L’examen approfondi, qui n’avait cessé de progresser au cours du siècle dernier, s’intensifia désormais de manière exponentielle. Un sentiment distinct de l’importance de la vie ou de la mort semble investir cette période, ainsi qu’un besoin farouche de réinventer et de revigorer la culture et l’identité du Japon.
Nous pouvons en voir les conséquences dans des domaines aussi divers que la danse Butoh, l’acupuncture Ryodoraku, l’Aïkido, le Karaté, la macrobiotique et, surtout, le Zen Shiatsu, bien que dans chaque cas le rapport entre assimilation et conservation varie sensiblement.
Alors que la danse Butoh est un superbe exemple de pionniers de la danse cherchant à remonter aux racines de la « japonité » de leur art, l’acupuncture Ryodoraku est, en revanche, un système développé par Nakatani, son fondateur, pour réinterpréter, expliquer et pratiquer l’acupuncture en appliquant certains outils conceptuels clés dérivés de la médecine occidentale moderne.
L’Aïkido est né de la volonté de tirer le maximum d’efficacité des arts de combat traditionnels que sont le jujutsu et l’escrime, tout en les encadrant ouvertement dans le langage et la pratique de l’amour et de l’harmonie. L’Aïkido est devenu un art moderne, synthétique, imprégné des traditions ancestrales des arts martiaux japonais [10].
George Ohsawa [11] a fondé la Macrobiotique dans le but de redéfinir les principes de la philosophie orientale (principalement le yin et le yang) et de les appliquer au pain quotidien que tous les humains ingèrent, au service plus large de la paix et de l’harmonie mondiales.
Il existe de nombreux exemples de ce processus de réinvention, de réinterprétation et de réincorporation dans la vie culturelle japonaise, notamment le Shintaido, le Sotai [12], le Noguchi Taiso développé par Michizo Noguchi et les exercices Seitai et Katsugenundo développés par Noguchi Haruchika [13]. La synthèse à des degrés divers est le dénominateur commun. Le Zen Shiatsu est un autre exemple de ce phénomène. Il est, après tout, fort probable que tout ou partie de ces mouvements étaient bien connus de Masunaga. Un exemple célèbre est celui des exercices Makko Ho développés par Wataru Nagai [14]. À l’âge de 42 ans, Nagai a subi une attaque cérébrale qui a laissé la moitié de son corps paralysé. Ses médecins lui ont dit qu’il devrait probablement passer le reste de sa vie à moitié paralysé, dépendant d’une aide et probablement incapable de travailler. Nagai a mis au point les exercices Makko Ho en consultant un manuel sur le bouddhisme chez son père, un moine bouddhiste.
(A suivre)
Notes de l’éditeur
[1] L’Université impériale de Kyoto est désormais appelée simplement Université de Kyoto.
[2] Désormais connue sous le nom de Japan Shiatsu College.
[3] En fait, deux autres écoles ont le droit de délivrer des licences d’État : Kuretake et Chosui Gakuen. L’auteur fait valoir qu’elles sont toutes issues du même creuset de l’école Namikoshi, ce qui est techniquement correct.
[4] On pourrait arguer que Shizuto Masunaga a dû démonter son héritage de deux professeurs : Tenpeki Tamai et Tokujiro Namikoshi.
[5] Il a été influencé par divers auteurs connus et par la présence de Izawa sensei, qui enseignait la médecine orientale au Japan Shiatsu College
[6] Dans cette mesure, il a préservé l’héritage, comme en témoigne le dernier chapitre du « Shiatsu-ho » de Tenpeki Tamai, qui conseille aux lecteurs de réciter le Sutra du Lotus au moins une fois par jour pour ouvrir leur cœur.
[7] Le centre de Shiatsu Iokaï de Tokyo est actuellement dirigé par son fils, Haruhiko Masunaga.
[8] Lire l’interview de Ohashi, où il décrit comment il a changé le titre du livre de Masunaga.
[9] Zen – Exercices visualisés : Travail des méridiens pour le bien-être ; Shizuto Masunaga, éditions Guy Trédaniel, 2005
[10] Lire « Ces maîtres d’Aïkido qui ont diffusé le Shiatsu » par Ivan Bel.
[11] George Oshawa (1893-1966), né Nyoichi Sakurazawa, fondateur de la Macrobiotique, a eu une influence majeure sur plusieurs maîtres japonais de Shiatsu. Pour en savoir plus, lisez : « L’histoire des pionniers Japonais en France – Les Années 50 » par Ivan Bel.
[12] Le Sotai-ho (操体法) est une forme japonaise de thérapie manuelle, inventée par Keizo Hashimoto (1897-1993), un médecin japonais de Sendai. Le terme So-tai (操体) est l’opposé du mot japonais pour exercice : Tai-so (体操). Selon son inventeur, il est basé sur la médecine traditionnelle d’Asie de l’Est (acupuncture, moxibustion et fixation des os ou sekkotsu) combinée à ses connaissances de la médecine occidentale moderne.
[13] Seitai (整体) désigne une méthode de guérison aux origines multiples formalisée par Haruchika Noguchi (1911-1976) au Japon au milieu du XXe siècle. Le terme signifie « corps correctement aligné ».
[14] Pour en savoir plus sur le Makko-Ho et le Dr Wataru Nagai, lire « Trois pratiques d’étirement (1) – Le vrai Makkô Hô japonais » par Stéphane Cuypers.
Auteur
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Traducteur
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